30 Octobre 1991 - Madeleine : « Ce Soir Tu Viens Diner À La Maison, … »

Il avait été planifié pour le 30 octobre une réunion de coordination en vue des prochains séminaires de formation que devaient avoir lieu à Orléans et dans d’autres villes. Toute l’équipe devait être là, pour finir en temps réel la coordination des différents intervenants. Cela devait se faire en une journée. Le 24 octobre Madeleine m’appela et me demanda si il m’était possible d’arriver la veille afin den nous voir avant la réunion. Pour ma part je m’organisais pour ce rendez-vous l’espérant au minimum câlin. Chantal la jeune fille à l’accueil, entre nous un joli petit lot ayant ce qu’il faut ou il faut, et je pense qu’elle le savait m’accompagna jusqu’au bureau de Madeleine.
Nous étions seuls et à peine arrivé, elle se précipita dans mes bras, pour un long baiser accompagné d’un excitant corps à corps. Je réussissais à la pousser contre le bureau et après avoir délicatement ouverts on corsage, je m’occupais avidement de ses seins et comme d’habitude ils étaient soutenus mais pas couverts, donc disponibles pour ma bouche ce dont je profitais goulument, sachant qu’elle aimait beaucoup cet approche. Après avoir rendu hommage à sa belle poitrine, je commençais à remonter sa jupe de façon à avoir accès à sa chatte. Sans problème elle m’aida et quand je glissais une main vers son intimité, ayant écarté les cuisses, l’accès fut aisé et je m’empressais de m’occuper de son minou qui comme d’habitude était nu. C’est alors que Madeleine me demanda : « As-tu réservé ta chambre, … »
Moi : « Oui, … comme d’habitude, … si tu veux, … on peur y aller, … »
Madeleine : « Non, … on va s’arrêter là, … on reprendra plus tard, …»
Moi : « Y-a un problème, … »
Madeleine : « Non, … tu viens diner à la maison, … et je veux que tu sois en forme, … »
Moi : « Pourquoi, … tu es seuls, …»
Madeleine : « Non, … Robert voudrait te connaître, … »
Moi : « Moi, … pourquoi, … »
Madeleine : « Ben, … c’est normal, … je lui ai parlé de toi, … »
Moi : « Quoi, … tu lui a parlé de moi, … mais comment, … »
Madeleine : « Comment, … mais je lui ai dit que tu étais mon amant, … »
Moi : « Tu es folle, … et il veut me connaître, … »
Madeleine : « Oui, … en quoi ça te gêne, … »
Moi : « Je suis un peu dépassé, … j’ai du mal à comprendre, … »
Madeleine : « C’est pourtant simple, … je vais t’expliquer, … Robert a, … enfin je dirais des problèmes de, … libido, … enfin il a du mal à bander, … on a tout essayé, … mises des plus sexy pour moi, … toubibs, … même les films porno,… rien à fait, …mais un jour, suite à un film d’échangisme il a pensé que … peut-être me voir faire l’amour avec un autre homme, … pourrait le débloquer, …le pousser à réagir, …»
Moi un peu ironique : « Effectivement, … quoi de plus normal, …»
Madeleine : « J’ai un peu hésiter, … et je me suis dit pourquoi pas, … comme je te connaissais, depuis un certain temps … et que j’appréciais ta façon de faire, … je lui ai dit d’accord, … mais j’ai posé comme condition, que je pourrais choisir mon partenaire,… il a été d’accord, … … et j’ai pensé que tant qu’à le faire … j’aimerais faire ça avec toi, … et j’espérais que ça te tenterait, … »
Moi : « Ai-je le droit de donner mon avis, … »
Madeleine : « Bien sur, … »
Moi : « Vous êtes fous, … »
Madeleine : « Oh, … je suis contente, … tu acceptes, …tu verras, tu ne le regrettera pas, … cela peut être une opération intéressante, … »
Moi : « Bof, … je ne sais, … et après, … en supposant que ça marche, … ton mari dira que tu ne peux plus me voir, … »
Madeleine : « Ça c’est autre chose, … on en parlera plus tard, …»
Moi : « A supposer que j’accepte, … il va me demander comment j’ai fait ta connaissance, … disons comme tu es arrivé dans mon mit, … ou l’inverse, … »
Madeleine : « Mon chéri, … tu as de l’imagination, … de toutes les façons, je serais là pour approuver ce que tu dis, … dans la mesure c’est en septembre que Robert m’a fait cette proposition … donc tu inventeras, …par exemple utilise la date de notre rencontre du 15 octobre, … ce serait bien, … et de fait c’est après cette date que j’ai accepté, … »
Moi : « C’est de la folie pure, … »
Madeleine : « J’aurais jamais pensé à faire ça avant, … mais, … c’est un service que je te demande, … et on verra après, … je te promets d’être très reconnaissante, … »
Moi : « Vous êtes fous, … »
Madeleine : « D’accord, … viens à la maison vers vingt heures, … que je prépare tout, … que je me prépare,… embrasses moi, … » et elle partit.


J’avais acheté une bouteille de whisky et à vingt heures je sonnais chez Madeleine, qui rapidement vint m’ouvrir. Là, le choc, … elle était vêtue, ou plutôt dévêtue d’un corsage couleur chair absolument transparent et l’on pouvait parfaitement voir le détail de ses seins et une jupe kilt très courte et naturellement chaussée d’escarpins. A peine entré, elle se colla à moi et j’eu droit à un rapide et tendre baiser ainsi qu’à un corps à corps violent. Puis elle prit la bouteille et j’en profitais pour glisser rapidement une main sous sa jupe, elle eut un court arrêt, mais assez long pour me permettre de sentir qu’elle n’avait rien sous sa jupe. Entrée dans la salle de séjour où les présentations furent faites : Robert, Jean, … et on enchaina rapidement par l’apéritif. Alors que Madeleine servait les apéritifs, se penchant assez en avant pour nous permettre d’apprécier soit ses seins, soit ses fesses et le reste, … Robert me dit : « Etant donné que nous honorons la même femme, je pense que nous pouvons nous tutoyer, … cela facilitera la suite de la soirée, … » Ainsi, nous partîmes sur le tutoiement.
Le diner
Je m’attendais à des questions, … mais aucune, enfin, … à un moment Robert tenta une ouverture et fut gentiment rabroué par Madeleine, « C’était convenu, …on dine tranquillement, on discutera après. Et effectivement le repas fut simple et tranquille, dans la mesure où je le branchais sur ses histoires d’expert et il en avait, certaines d’ailleurs assez drôles. Fin du repas Madeleine annonça qu’elle allait chercher le dessert. La seule chose que l’on comprit était : « madeleines à la chantilly, … » et que par facilité, on le prendrait au salon avec le café. On quitta la table à manger pour se déplacer au salon. Elle arriva tenant un plateau à hauteur de ses seins sur lequel il y avait deux « boules » de chantilly, avec au milieu une bombe à chantilly. Effectivement, elle avait posé ses seins sur le plateau, et les tétons étaient enrobés de chantilly juste au-dessus du plateau.
Elle posa le plateau et prenant son sein droit enrobé de chantilly et l’approchant de la bouche de son mari, elle dit : « Le dessert pour mon mari, … » Celui-ci n’hésitât pas et il suça, lécha avec application la chantilly. Puis se fut mon tour avec le même scenario : « Le dessert pour mon amant, … » et comme Robert, je suçais et léchais la chantilly, mais étant près de moi, je glissais discrètement une main entre ses cuisses et en riant elle dit : « On ne triche pas, … ». Ce dessert, nous avait, enfin, m’avait bien émoustillé et j’attendais la suite avec une certaine appréhension, mais Madeleine annonça qu’elle devait débarrasser la table, nous lui proposâmes de l’aider, mais non, buvez votre café, j’en ai pour cinq minutes et nous pûmes apprécier sa démarche pendant cette opération o% elle opérait pratiquement nue.
L’interrogatoire
Courant de l’apéritif, naturellement il me demanda : « Depuis quand connais tu Madeleine ? »
Moi après avoir bu un coup: « Ah, … bonne question, … on voit l’expert, … question à tiroir. Premier tiroir, cela fait plus de deux ans que nous nous connaissons. Et travaillons ensembles, elle fait partie de l’équipe d’experts qui officient lors des séminaires de formation. Madeleine est la collègue que j’avais toujours connu, polie mais distante, jeune femme compétente, sérieuse, toujours en tailleur strict, ce qui situe le personnage. Je pense avoir répondu à la question »
Robert : « Oui, … partiellement, tu disais que c’était une question à tiroir, ... en fait quand as-tu connu Madeleine, … disons plus intimement, … »
Moi : « En fait le 15 octobre, nous avions une réunion de coordination où il y avait outre Madeleine, un collègue surnommé Bull, car en charge des exposés sur le gros matériel, Marta une jeune informaticienne jolie, un peu typée espagnole, donc brune et éclatante de santé et bonne humeur , René Ingénieur des produits spéciaux, ….et moi. Le soir, il ne restait que Madeleine, Marta Bull et moi. Nous avons diné ensemble, comme à l’accoutumée ; quant à la fin du repas Bull, nous dit : « C’est mon anniversaire, … je vous invite à l’Edelweiss (boite de nuit à dix minutes en voiture) pour une petite coupe.
Visiblement, il draguait Marta qui, à priori, n’était pas insensible et il nous invitait, pour permettre à Marta d’accepter sans problème. Personnellement j’ai un peu hésité et j’ai accepté pour disons « aider » les jeunes. Madeleine a, elle aussi, hésité, puis a accepté avec : « Juste une petite coupe et je rentre, … »
Nous voilà en route vers les voitures. Marta, sans problème, monte avec Bull, quant à moi, je décide de prendre ma voiture, quand Madeleine me dit : « Comme vous ne rentrez pas tard, ... Je viens avec vous, … » et en route pour la boite de nuit. Nous sommes arrivés pratiquement les premiers. Bull commande une bouteille et le voilà sur la piste avec Marta. J’invite Madeleine, danses suivantes, changement de cavalière et ainsi pendant une petite demi heure où j’avais, entre autres, le plaisir de danser avec Marta et après quelques danses je me laissais à penser que je pourrais bien m’occuper de ce petit lot, mais bon … après quelques tours, Bull a accaparé Marta. On ne pouvait pas rester, Madeleine et moi, à les regarder danser. Pratiquement l’heure suivante nous avons dansé, … et tu sais ce qu’il se passe quand tu danses avec une jolie femme, au fur et à mesure de la soirée, on se rapproche, … quand enfin Madeleine m’a demandé à rentrer, et c’est en arrivant à la voiture que je décidais de tenter ma chance : un baiser ou une claque,… j’ai eu droit au baiser, … retour à l’hôtel et ce qui devait arriver arriva, nous nous sommes retrouvé dans ma chambre, …»
La vérité
((Je ne pouvais pas lui dire, ce qui c’était réellement passé, car, certes nous avions dansé, après un début disons amoureux, c’était devenu un véritable corps à corps qui avait suivi. Une petite heure était passée, Madeleine me dit qu’elle voulait rentrer. Bien. Le parking s’était rempli, nous arrivâmes à la voiture et passant entre l’arrière de la voiture et la haie de clôture nous avions commencé par un baiser long et sensuel où tout le corps avait participé et j’en profitais pour glisser mes mais sous sa veste, et comme je le pressentais, j’atterris directement sur sa peau.
Je la caressais quand, elle la déboutonna, libérant ses seins, que je m’empressais de prendre en bouche, en les suçant, les tétant, … ce qui l’excitait, sa respiration ayant légèrement augmentée de rythme. Je pensais à pousser plus loin, en lui disant : « Remontes ta jupe, … je devines que tu n’as rien en dessous, … c’est pour que je puisse te caresser, … m’occuper de ta chatte, …»
Madeleine : « Euh, … non, … tu es fou, … »
Moi : « Je suis sur que tu en as envie, … t’es toute chaude, … » et sans plus discuter elle remonta sa jupe au niveau de ses fesses, libérant ainsi sa chatte que je m’empressais de couvrir de ma main, et de caresser. S’appuyant sur le capot, elle ouvrit un peu plus les cuisses me permettant ainsi d’avoir un accès facile et agréable à son minou tout chaud et humide,…
Madeleine : « J’aime que tu me caresses, comme ça, … mais ne vas pas plus loin, … » Les cuisses légèrement ouvertes, le bassin bien en avant, c’est à ce moment que je choisi pour la pénétrer de deux doigts.
Madeleine : « OH, … non, … oui, … doucement, … non, … pas déjà, … Oh oui, continues que je te sente, … » et, je continuais à la masturber avec ardeur, en fait, ce que je lui faisais en plus du lieu, faisait qu’elle appréciait la chose : « Continues, … Oh, … c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … je sens que je vais jouir, … ouiiii, … continues, … OOOOOHHHHH, … OUIIIIIII, … » Un spasme brutal lui fit fermer les jambes tout en se cramponnant à moi. C’est ainsi qu’elle récupérera son souffle. Se réajustant, elle prit ma main et portant à sa bouche les doigts qui s’étaient occupés de sa chatte, les suça en disant : « J’aime gouter au plaisir que tu m’as donné, … viens on rentre je veux m’occuper de toi, … je veux te donner du plaisir, … viens vite, … » et nous montâmes dans la voiture direction la chambre d’hôtel. A peine arrivés, Madeleine jeta sa veste au loin une danse des hanches la jupe dégagea et elle se laissa tomber sur le lit la chatte bien en vue offerte avec un : « Viens, … dépêches toi, … regardes, … c’est à toi, … » Je bandais dur, je me déshabillais le plus rapidement possible et que je m’approchais du lit, elle se redressa et voyant l’engin bien dressé : « Laisses moi y gouter, … j’aime quand je vois que tu as envie de moi, …avant de t’avoir dans ma chatte, … je te veux dans ma bouche, … » joignant le geste à la parole, un coup de langue sur la hampe bien dressée et du bout des lèvres elle caressa le gland pour enfin m’absorber entièrement et commencer à pomper avec ardeur. Je dus l’arrêter car c’était sa chatte que je voulais. Et docilement, mais avec un : « C’est dommage, … j’aimais, … te gouter, … » elle se laissa aller en arrière : « Viens, … prends moi, … je veux t’avoir sur moi, …(ouvrant sa chatte) regardes, … je m’ouvre pour toi, …» Je me posais entre ses cuisses et sans problème elle se saisit de ma bite et la dirigea vers sa chatte : « Oui, … viens, … rentres doucement, … que je te sente, … bien me pendre, … oh, oui, … baises moi, … je te veux, … » Elle était déchainée, elle encaissait chaque pénétration en se tendant et en manifestant son plaisir d’être prise, je la sentais prête à partir lorsque se bloquant : « Arrêtes, … » et me repoussant elle se mit sur le ventre puis en levrette, son joli cul bien en évidence, elle mit ses deux mains sur ses fesses les écarta, offrant à ma vue sa rosette, bien plissée, trempant mes doigts dans sa chatte j’humidifiais son petit trou afin de mieux m’y introduire: « Viens, … c’est là que je te veux, … prends par là, … encules moi, … montes moi, … prends ton plaisir, … forces moi le cul, … oui, … continues, … » Elle était tellement gourmande, tellement prête qu’il ne me fallu pas un grand effort pour la prendre. A peine entré je commençais à la ramoner avec ardeur et peu de rapidement sa main droite descendit entre ses cuisses pour s’occuper de son minou, pendant que je m’occupais de sa rosette.
Moi : « Tu aimes te caresser, quand on s’occupe de ton joli cul, … »
Madeleine : « Oui, …j’aime, … continues, … j’aime te sentir me prendre, … n’arrêtes pas, … «
Et je me souvenais qu’elle aimait que je lui claque gentiment les fesses, ce que je m’empressais de faire et la réaction fut immédiate, une contraction immédiate de ses muscles internes qui m’enserrèrent ma bite, ce qui augmenta la pression et je me cramponnais à ses hanches pour mieux l’enculer et cela entraina : « Oui, … j’aime, … dis moi que tu aimes me monter dessus, … que je suis ta femelle, …»
Moi : « Oui, … j’aime te monter dessus, … j’aime que tu m’offres ta rosette, … j’aime, car tu es une gourmande, ... »
Madeleine : « OOOHHH, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … OUIIIIII, … OOOOHHH, … je JOUIIIIIII, … » Elle eut un spasme brutal, suivi d’une réplique ce qui fit que cramponné à ses hanches et bien enfoncé dans son cul, je me vidais avec un long soupir de bien être.
Je roulais à coté d’elle et elle vint se blottir contre moi : « Tu m’as donné beaucoup de plaisir, … j’espère que tu as eu du plaisir, … maintenant, je veux un gros câlin, … tu m’as fatigué, … » et lentement on s’endormit.
Le lendemain, avant que le réveil sonne j’étais à la salle de bains, alors que je me séchais de la douche Madeleine arriva : « Bonjour, … ne me regardes pas, … » et elle prit un peigne et se coiffa rapidement et se collant contre moi : « Monsieur file, …et semble m’oublier, … oublier celle qui c’est donné à lui, … » et elle vint se coller contre moi et glissa une main entre nous et se saisit de ma bite, qui pendait lamentablement, mais elle se mit à la caresser et sans trop tarder « popol » décida de répondre à ces caresses pour commencer à se redresser. Quand elle jugea la consistance de la chose satisfaisante, elle s’accroupit lentement : « Je vais te gouter, … j’en ai envie, … et je vais te faire jouir, … je veux que tu jouisses dans ma bouche, … dis moi que tu aimes que je te suce, …» Que dire, sinon accepter. Elle se mit à jouer avec le bout de ses doigts en parcourant ma hampe, la grattant du bout des ongles, avec effet immédiat un durcissement de la chose. La consistance étant à son goût elle parcourut ma bite à petits coups du bout de sa langue, pour enfin prendre mon gland dans la douceur de ses lèvres chaudes. Là, satisfaite du résultat elle me prit en bouche pour entreprendre de me pomper d’abord doucement puis en accélérant le mouvement. Son jeu était tellement excitant que j’avais l’impression d’avoir un sexe gonflait et cela fit qu’il ne lui fallut pas longtemps pour que la pression était telle qu’avec un râle de contentement je lâchais tout dans sa bouche accueillante. Se relevant et se collant à moi : « J’espère que tu as aimé, … moi, j’ai aimé, … maintenant, à moi la salle de bains, … on se retrouve au petit déjeuné, … »
Dans la salle de restaurant j’avais choisi une table dans un coins de la salle, un peu à l’écart, enfin un peu. Effectivement une petite demi-heure elle arriva toute pimpante dans un tailleur vieux rose qui allait bien avec sa peau de blonde. Et elle avait une allure, … et il n’y avait pas que moi qui le pensait. Alors qu’elle s’installait je lui dis : « Tu es vraiment splendide, … très élégante, … ça me donne des idées, … »
Madeleine : « N’ai pas d’idées, j’ai une faim de loup, … alors ne rêves pas, … » et elle se leva pour se rendre au buffet et tous les mâles plus ou moins discrètement la suivirent des yeux. En revenant et s’asseyant :
Moi : « J’admire le style, … la classe mannequin, … si tu continues, il va y avoir une émeute, … »
Madeleine : « Ce tailleur te plait, … »
Moi : « Oui beaucoup, … et il te va à ravir, … je dirais qu’il te colle à la peau, …et il permet d’imaginer le dessous,… tu aimes sentir qu’on te regarde, … avec envie, … »
Madeleine : « Ça ne me déplait pas, … »
Moi : « Tu devrais déboutonner ta veste que je puisse voir ton corsage et les trésors qu’il renferme, … je suis certain que tu en as envie, …»
Madeleine : « Ça va te donner des idées, et je ne pense pas que ce soit le moment, … mais si cela te fait plaisir, … et j’aime te faire plaisir, … » et elle déboutonna sa veste et apparu son corsage, parfaitement ajusté et bien rempli par ses seins, mais le décolleté était de faible ouverture.
Moi : « Tu as un joli corsage, mais l’aimerais un décolleté plus , … disons plus ouvert, … permettant d’imaginer, … de rêver, … »
Madeleine : « Tu es complètement fou, … »
Moi : « Allons, … je sais que tu en as envie, … tu aimes qu’on te demande, … et plus on te demande, plus ça t’excite, … »
Madeleine : « Tu es un horrible, … et je t’écoute, … et je fais ce que tu veux, … chaque fois je me soumets à tes désires, … et j’aime le faire, … »
Moi : « Tu te soumets, … c’est vite dit, … tu provoques, … mais tu aimes, … tu aimes le sexe, … et tout ça t’excite, … ça te fait mouiller, … »
Elle avait augmenté son décolleté, ce qui me permettait d’avoir une belle vue sur ses belles rondeurs et deviner le reste. Mais, j’aimais la provoquer, car elle aimait cela et faisait tout pour.
Moi : « J’aime toujours autant tes seins, … augmente encore ton décolleté, … que je m’imagine en train de les sucer, les lécher, … »
Madeleine : « Non, … tu es fou, …d’abord arrêtes, …tu es en train d‘essayer de m’exciter, … »
Moi : « Bon, … hum, … je vois tes jolies aréoles brunes claires, …je les lèche, … t’as les tétons qui deviennent durs, … hum, … là je vais les prendre entre mes dents, …hum, … je vais les mordiller, … tu aimes quand je fais ça, …»
Madeleine : « Arrêtes, … tu me tournes la tête, … je vais au buffet, … »
Moi, alors qu’elle revenait du buffet : « Tu sais, on a l’impression que ce tailleur a été fait sur toi, Il épouse tes formes avec élégance, … et heureusement que tu es nue en dessous, … »
Madeleine : « Pourquoi tu dis ça, … »
Moi : « Tu aurais une petite culotte, … on verrait au moins les élastiques, … alors que là, on peut apprécier la rondeur de ton très joli cul, … et ne rien avoir sous ta jupe ça donne des idées, … »
Madeleine : « Mais ça ce voit, … »
Moi de façon à l’émoustiller un peu : « Les connaisseurs peuvent apprécier, … et m’envier, … et toi, … je suis certain que ça y’excite de le faire, … et de le savoir, … »
Madeleine : « Tu sais ce que tu es, … »
Moi : « Oui, … ton amant, … qui sait que tu aimes le sexe, … et qui sait t’exciter, … d’ailleurs, … quand tu reviendras du buffet, avant de t’asseoir tu devrais remonter ta jupe, … tu écarteras tes jolies cuisses, … pour aérer minou, … »
Madeleine : « Là, tu es complètement fou, … » et elle se leva, et tout en étant concentré sur mon petit déjeuner je constatais que certains mâles la suivirent des yeux avec attention, … elle dus le sentir, ou l’imaginer. Pour ma part, j’attendais avec une certaine impatience le retour à notre table. Elle reposa son plateau et là j’ai admiré, car je surveillais, l’art de remonter légèrement sa jupe sans y paraître.
Madeleine : « Tu es content, … une fois de plus je fais ce que tu veux, … dis moi pourquoi je me soumets tout le temps, … je n’ai pourtant pas cette réputation, … qu’est ce que tu m’a fait, … »
Moi : « C’est que je pique ta curiosité, … et tu es une adorable femme, … j’attise ta sexualité, … et je suis sur que tu es toute chaude, … j’aimerais en profiter, … bien dès que tu as fini, on récupère nos affaires, … et on se sépare, … je vais être en retard, … »
Dans le quart d’heure suivant, nous étions dans la chambre pour récupérer nos affaires. Avec toutes mes conneries j’avais une trique pas possible, alors qu’elle finissait sa valise, je glissais une main entre ses cuisses et remontais jusqu’à sa chatte encore humide.
Madeleine : « Non, … je n’ai pas le temps, … arrêtes, … et puis zut, … tu as gagné, … oui, viens, … j’ai envie de toi, … prends moi, … ce que tu veux, …»
Elle se retourna et vint se coller contre moi avec un nouveau « OUI, … viens, …»
Alors que j’augmentais son décolleté, elle ouvrit veste et corsage m’offrant ainsi ses seins à ma bouche, les suçant, les tétant, mordillant ses tétons, ce qui la fit soupirer de plaisir. Enfin n’ayant rien demandé mais espérant, elle recula jusqu’au bureau et avant de s’y asseoir remonta sa jupe jusqu’à la ceinture et : « C’est ce que tu voulais, …viens, … prends moi, … j’en ai envie, … »
Avant de la prendre, de la baiser, je voulais gouter à sa chatte, dont j’avais senti l’humidité et je voulais la gouter une fois de plus. Lui soulevant les jambes qu’elle écarta largement je m’approchais et pouvais humer la douce odeur un peu piquante de la femme, non de la femelle chaude, ouverte, en attente. Je la chatouillais ave le but de la langue : Oui, … c’est bon, … ne t’arrête pas, …prends moi avec ta langue, tes doigts, … tu m’as excitée, … maintenant fais moi jouir, … » elle était tellement ouverte que je la masturbais avec trois doigts et j’avais l’impression qu’il y avait encore de la place, … et tout à coup, brutalement : « Oui, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je vais jouir, … OOOOHHH, … OUIIIIIIII, ….OUIIIIIII, … » elle eut un spasme brutal qui lui fit écarter les cuisses puis les refermer brutalement sur ma tête qu’elle enserra avec violence. Enfin desserrant son étreinte elle se redressa et se laissant glisser à terre vint se coller contre moi, essoufflée, mais apparemment heureuse ou plutôt satisfaite, mais peut-être pas comblée car elle se laissa glisser et s’accroupissant elle put se rendre compte que j’avais une belle trique : « OH, … je vais m’occuper de toi, … » et sans hésiter elle me prit en bouche et commençant à pomper, j’appréciais fort se qu’elle faisait, d’autant qu’elle faisait monter la pression et que je risquais de ne pas tenir la longueur, je l’arrêtais et la faisais se mettre debout : « Dommage, j’aimais bien, … j’aime te gouter, … avant que tu me prennes, …» et se redressant elle se retourna s’appuyant sur le bureau « : « Viens, … je te veux, … fais moi l’amour, … soit brutal, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … je veux te sentir dans moi, … » sans problème j’avais trouvé ma place dans sa grotte d’amour bien ouverte et toute chaude et je la ramonais avec énergie, ce qu’elle semblait apprécier par des : « Oh, ... c’est bon, … continues, … prends bine profond, … remplis moi, … oui, occupes toi de mes fesses, … (j’avais oublié que pendant qu’on baisait ainsi, elle aimait que je lui claque les fesses ce que je fis aussitôt)), … oh, … je sens que ça vient, … ne t’arrêtes, … oui, .. . baises moi fort, … bourres moi la chatte, … OOOOHHHH, … OUIIII, …. OH OUIIIII, … » Un spasme l’avait fait se contracter brutalement, qui fut suivi par une petite réplique,… mais moi avec ce que j’avais fait depuis hier, je bandais toujours autant, le plaisir était dans les reins, mais rien ne voulait sortir, cela m’arrivait quand j’avais trop usé de la chose et je continuais à la ramoner et elle subissait mes assauts : « Arrêtes, … je n’en peux plus, … Oh, … arrêtes, …tu vas m’éclater la chatte, … arrêtes, … arrêtes, … arrêtes, … OOOHHH, … OUI, …continues, … OH, tu es une brute, … ne t’arrêtes pas, …continues à me baiser fort, … très fort, … j’aime, … je sens que je vais jouir, … OOOOOHHHHH, …..OUIIIII, …..OUIIIII, … » elle un spasme qui la fit se contracter brutalement, heureusement que j’étais cramponné à ses hanches et qu’en même temps je me vidais avec un grand soupir de satisfaction. Le temps de récupérer, elle se redressa et comme elle était vint contre moi, : « Tu es une brute épaisse, … je te gifle … ou je t’embrasse, … en te disant merci, … tu es un amour, … » Rapidement on se réajusta et nous étions partis, …))

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